Réseaux sociaux, grandes gueules et mouroir populaire

Il est loin derrière nous le temps où chacun pouvait s’offrir le loisir d’exprimer ses idées sans se soucier d’une quelconque critique. Le temps où la seule menace était la crainte de voir des journalistes un peu trop zélés faire des critiques virulentes a connu bien des transformations. Aujourd’hui, que l’on soit un ministre qui a du mal à compter au-delà de 200, ou même un autre qui tient un…